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Samuel Clarke

vendredi 24 juillet 2015, par lucien jallamion

Samuel Clarke (1675-1729)

Théologien britannique

Samuel Clarke Théologien britanniqueIl fut 12 ans chapelain de l’évêque de Norwich [1] et devint en 1706 chapelain de la reine Anne , et en 1709 recteur de Saint-James [2].

Il fut lié avec les savants de son temps, particulièrement avec Isaac Newton.

Clarke est surtout connu par “son Traité de l’existence de Dieu et de la religion naturelle et révélée”, traduit par Petrus Ricotier en 1721. Cet ouvrage se compose de sermons prononcés à Saint-Paul pour la fondation de Robert Boyle , l’auteur y combat avec force Spinoza et Thomas Hobbes .

Il publia en 1712 un traité de la Trinité, qui le fit passer pour antitrinitaire et lui attira quelques difficultés.

Samuel Clarke est devenu membre de la Royal Society [3] le 2 mai 1728.

On a publié en 1717 sa correspondance avec Leibniz sur le temps, l’espace, la nécessité et la liberté.

Clarke cultiva aussi les sciences et la philologie [4].

P.-S.

Source : Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia Samuel Clarke/ Portail du protestantisme/ Théologien britannique

Notes

[1] Ce diocèse couvre la majeure partie du comté de Norfolk et une partie du comté de Suffolk. Le siège est situé à la cathédrale de Norwich.

[2] Saint-James est une commune française, située dans le département de la Manche. Saint-James se situe à la frontière de la Normandie avec la Bretagne.

[3] La Royal Society, dont le nom officiel est Royal Society of London for the Improvement of Natural Knowledge et que l’on peut traduire littéralement par « Société royale de Londres pour l’amélioration du savoir naturel », est une institution fondée en 1660 siégeant au Carlton House Terrace à Londres et destinée à la promotion des sciences. Cette société savante est l’équivalent de l’Académie des sciences en France.

[4] La philologie est l’étude d’un langage à partir de documents écrits. C’est une combinaison de critique littéraire, historique et linguistique. Elle vise à rétablir le contenu original de textes connus par plusieurs sources, c’est-à-dire à sélectionner le texte le plus authentique possible, à partir de manuscrits, d’éditions imprimées ou d’autres sources disponibles (citations par d’autres auteurs, voire graffiti anciens), en comparant les versions conservées de ces textes, ou à rétablir le meilleur texte en corrigeant les sources existantes.