Il est un des pères du premier concile de Nicée [1], où il combat les ariens [2], au même titre qu’Athanase d’Alexandrie.
Il soutient celui-ci en 335, au concile de Tyr [3], contre les ariens qui nient la Trinité. Déposé en 336 par ceux-ci, il est condamné en Orient dès 341 comme proche de la doctrine de Sabellius, puis en Occident à partir de 345.
Sa pensée se rapprochant du sabellianisme, considéré comme peu dangereux par Rome, il est déclaré innocent et rétabli sur son trône en 353 par le pape Jules 1er.