Fils de Joachim II Hector de Brandebourg et de Madeleine de Saxe . En 1545, il épouse Sophie de Liegnitz , fille du duc Frédéric II de Liegnitz.
Face aux énormes dettes accumulées lors du règne de son père Joachim II Hector, Jean II Georges créée un impôt qui met les paysans sous la coupe de la noblesse, exemptée de cette imposition. Bien que fermement opposé à la Réforme et à la montée du calvinisme, il permet aux réfugiés fuyant les guerres de religion aux Pays-Bas espagnols [1] et en France de s’installer dans son État.
Veuf, Jean II Georges épouse en 1548 Sabine de Brandebourg-Ansbach, fille du margrave Georges de Brandebourg-Ansbach .
En 1568, date du décès de son cousin Albert de Brandebourg, le duché de Prusse [2] échoit à son jeune fils encore mineur Albert Frédéric. Jean II Georges participe au conseil de régence du duché de Prusse.
De nouveau veuf, Jean II Georges épouse en 1577 Élisabeth d’Anhalt-Zerbst , fille du prince Joachim-Ernest d’Anhalt .
Il fonde le premier établissement humaniste à Berlin : le Berlinisches Gymnasium zum Grauen Kloste [3].
Dans son État, il applique le calendrier grégorien [4]. Son fils Joachim III Frédéric lui succède.