Il proposa une réforme agraire radicale [1] tendant à faire vendre au profit du peuple toutes les terres de l’ager publicus dans les provinces, et à faire acheter avec le produit de la vente des champs en Italie pour les distribuer aux pauvres.
Cicéron, alors consul, parvint, par son éloquence, à faire rejeter par le peuple lui-même cette loi populaire.
Il prononce à cette occasion 4 discours, dont 3 nous sont conservés [2].