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L’histoire pour le plaisir

Aulus Hostilius Mancinus

samedi 2 février 2019, par lucien jallamion

Aulus Hostilius Mancinus

Homme politique romain du 2ème siècle av. jc

emblème consul En 180 av. jc, il devient préteur [1]. Dix ans plus tard, en 170 av. jc, il est élu consul avec Aulus Atilius Serranus .

La guerre qu’il mène contre Persée de Macédoine se révèle infructueuse. Il veille toutefois à maintenir dans l’armée la discipline nécessaire.

P.-S.

Source : Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia Aulus Hostilius Mancinus/ Portail de la Rome antique/ Consul de la République romaine

Notes

[1] Le préteur est un magistrat de la Rome antique. Il était de rang sénatorial, pouvait s’asseoir sur la chaise curule, et porter la toge prétexte. Il était assisté par 2 licteurs à l’intérieur de Rome, et 6 hors du pomerium de l’Urbs. Il était élu pour une durée de 1 an par les comices centuriates. La fonction de préteur fut créée vers 366 av. jc pour alléger la charge des consuls, en particulier dans le domaine de la justice. Le premier préteur élu fut le patricien Spurius Furius, le fils de Marcus Furius Camillu. Égal en pouvoir au consul, auquel il n’a pas de compte à rendre, le préteur prêtait le même serment, le même jour, et détenait le même pouvoir. À l’origine, il n’y en avait qu’un seul, le préteur urbain, auquel s’est ajouté vers 242 av. jc le préteur pérégrin qui était chargé de rendre la justice dans les affaires impliquant les étrangers. Cette figure permit le développement du ius gentium, véritable droit commercial, par contraste avec le ius civile applicable uniquement aux litiges entre citoyens romain. Pour recruter, pour former ou pour mener des armées au combat ; sur le terrain, le préteur n’est soumis à personne. Les préteurs ont aussi un rôle religieux, et doivent mener des occasions religieuses telles que sacrifices et des jeux. Ils remplissent d’autres fonctions diverses, comme l’investigation sur les subversions, la désignation de commissionnaires, et la distribution d’aides. Lors de la vacance du consulat, les préteurs, avant la création des consuls suffects, pouvaient remplacer les consuls : on parle alors de préteurs consulaires.