Fidèle serviteur de François 1er, il se trouva à la bataille de Pavie [1], réussit à pénétrer dans la prison de son roi à Madrid et à rapporter de ses nouvelles à la régente.
Il fut nommé gouverneur de Turin en 1527, puis vice-roi du Piémont, sauva Florence du pillage dont la menaçaient les bandes du connétable de Bourbon, fit tous ses efforts pour prévenir les actes qui amenèrent à la démission d’Andrea Doria, remplit des missions diplomatiques en Angleterre et en Allemagne et décéda après avoir obtenu la suspension de l’arrêt du Parlement d’Aix contre les vaudois Cabrières et Mérindol. Charles Quint disait qu’il lui avait fait plus de mal et déconcerté plus de desseins que tous les Français ensemble.
Source : Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Encyclopédie Larousse/personnage/Guillaume Du Bellay/
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