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L’histoire pour le plaisir

Lady Ann Cunningham

lundi 10 juillet 2023, par ljallamion

Lady Ann Cunningham (morte en 1646)

Marquise de Hamilton

Quatrième fille de James Cunningham 7ème comte de Glencairn et de Margaret, fille de Sir Colin Campbell de Glenurquhy , une famille connue pour leur engagement précoce dans le protestantisme [1].

Elle épouse James Hamilton 2ème marquis de Hamilton le 30 Janvier 1603. Ils ont eu 2 fils et 3 filles.

Elle est connue pour sa défense de l’Eglise Presbytérienne [2] en Ecosse contre Charles 1er et elle tenta de convertir l’ensemble de l’Ecosse à l’anglicanisme [3].

Son fils, James Hamilton 1er duc de Hamilton, avait pris le parti de Charles 1er. Quand il tenta d’amener une armée sur la côte écossaise en 1639, elle organisa les défenses contre son fils.

Lady Ann Cunningham a soulevé une troupe de cavalerie et les conduisit à cheval pendant la bataille de Berwick le 5 Juin 1639.

P.-S.

Source : Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé Lady Ann Cunningham/Traduit par mes soins

Notes

[1] Le protestantisme est l’une des principales branches du christianisme, avec le catholicisme et l’orthodoxie. Entendu largement, le protestantisme est l’ensemble des Églises issues de la Réforme. L’ensemble de ces Églises englobe des mouvements variés, tels les luthériens, presbytériens, réformés, anglicans, méthodistes... Il regroupe plus d’un tiers des chrétiens dans le monde, soit 900 millions de protestants, dont 300 millions dans les Églises directement influencées par la Réforme et 600 millions dans les nouvelles Églises protestantes, principalement évangéliques (dont l’anabaptisme, le baptisme et le pentecôtisme).

[2] Le presbytérianisme est une forme du protestantisme calviniste qui s’est développée en Écosse puis, notamment, en Irlande du Nord et aux États-Unis. Les bases théologiques et ecclésiales en sont communes avec les églises réformées, mais l’usage a consacré le terme presbytérien pour désigner les églises, essentiellement anglophones, qui se situent dans une tradition héritée de l’Église d’Écosse. Les calvinistes anglais, qui sont généralement appelés puritains, sont pour la plupart restés au sein de l’Église d’Angleterre, qui conserve une confession de foi calviniste, la Confession de foi de Westminster, exceptés ceux qui ont voulu rendre l’Église totalement indépendante de l’État, qui sont devenus les congrégationalistes (aussi appelés independents ou non-conformistes). Les efforts missionnaires très importants des presbytériens ont conduit à la création de nombreuses Églises presbytériennes dans le monde.

[3] L’anglicanisme est une confession chrétienne présente principalement au Royaume-Uni, dans les pays de culture anglophone, à la fois dans les anciennes colonies britanniques et sur les terres d’expatriation des Britanniques de par le monde