Il est l’auteur de la seconde partie du Roman de la Rose.
La tradition affirme qu’il étudia à l’Université de Paris [1]. Comme son contemporain, Rutebeuf, il fut un défenseur de Guillaume de Saint-Amour et un critique virulent des ordres mendiants [2].
La plus grande partie de sa vie semble s’être passée à Paris, où il possédait, rue Saint-Jacques, une maison avec tour, cour et jardin, qui a été décrite en 1305 comme maison du défunt Jean de Meung et fut alors attribuée par un certain Adam d’Andely aux Dominicains [3].
Jean de Meung raconte que pendant sa jeunesse il a composé des chansons qui furent chantées en France sur les places publiques et dans les écoles.