Né à Rome, qualifié d’ami de la paix, il eut le temps de réhabiliter la mémoire de Formose, fit brûler les lettres de renonciation que les clercs ordonnés par Formose avaient été contraints par Étienne VI de signer et de préparer un synode pour annuler les conclusions du synode du cadavre [1].
On ignore les causes exactes de sa mort mais il a été probablement assassiné.
Sa dépouille fut inhumée dans l’ancienne basilique Saint-Pierre [2].