Guy 1er de Mâcon
mercredi 5 septembre 2018
Guy 1er de Mâcon (vers 982-1004)
Comte de Mâcon-Héritier du comté de Bourgogne
Fils du comte Otte-Guillaume de Bourgogne et de Ermentrude de Roucy .
Vers 986 naît son frère Renaud 1er de Bourgogne et en 995 son père l’associe au pouvoir du comté de Bourgogne [1].
En 1002 il devient le comte Guy 1er de Mâcon, par legs de son père du comté de Mâcon [2].
Il meurt en 1004.
Son fils Otton II de Mâcon lui succède comme Comte de Mâcon et son frère Renaud Ier de Bourgogne devient héritier du comté de Bourgogne.
P.-S.
Source : Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia Guy Ier de Mâcon/ Portail de la Bourgogne/ Comte de Mâcon
Notes
[1] Le comté de Bourgogne, appelée aussi Franche Comté de Bourgogne était un important comté fondé en 986 par le comte Otte-Guillaume de Bourgogne et dont le territoire correspond aujourd’hui approximativement à l’actuelle région de Franche-Comté. Il avait pour capitale Dole (château de Dole) et était gouverné du 10ème au 17ème siècle par les comtes palatins de Bourgogne. Ce comté est formé par la réunion des quatre circonscriptions administratives carolingiennes (pagi bourguignons) : l’Amous (région de la Saône, de l’Ognon et du Doubs), l’Escuens (région de Château-Chalon), le Portois (région de Port-sur-Saône) et le Varais (région enserrée dans le « M » que forme le tracé de la rivière le Doubs).
[2] Le comté de Mâcon rattaché à la ville de Mâcon en Saône-et-Loire (Mâconnais) dans la partie sud-est de la Bourgogne au Moyen Âge. À l’époque carolingienne, le pagus devient un comté. Sans postérité, le dernier comte, Jean de Dreux et de Braine, et sa veuve, Alix, comtesse de Mâcon et de Vienne, vendent le comté au roi de France, Saint Louis, qui l’incorpore au domaine royal, tandis que le titre de comte de Vienne reste aux oncles d’Alix. Rendu au duché de Bourgogne en 1435 dans le cadre du traité d’Arras, le comté de Mâcon est définitivement annexé au royaume avec l’ensemble de la Bourgogne après 1477, année de la défaite et de la mort du duc Charles le Téméraire vaincu par Louis XI. Jusqu’à la Révolution française, le Mâconnais, rattaché à la Bourgogne avec le statut de comté adjacent, disposait de ses propres États : les États particuliers du Mâconnais.